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Programme du festival 2008
Les films à l'affiche
Page mise à jour le :
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Faut-il encore y croire ?
Consacrer sa vie à sa ferme, à ses bêtes, accumuler au fil des années, savoir faire et savoir
être et puis tout à coup perdre ses repères ; un incendie, une vache folle, des quotas et tout
est remis en question !
Déserter, changer sa vie, repartir ? Mais à quel prix, avec quelles certitudes, quels espoirs ?
"Le lait sur le feu"
Réalisé par Raphaël Girardot
- Durée : 92 min - Année : 2007 (France)
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Alain Crézé a vu son troupeau entier partir à l’abattage à cause d’un unique cas
de vache folle ; il veut quitter le métier de paysan. C’est moins un coup de tête
qu’un ras-le-bol : "avant on nourrissait les gens, aujourd’hui on enrichit
l’agroalimentaire". Il a 45 ans.
Se reconvertir mais pour faire quoi ? Se posent alors les questions du travail,
des "savoir-faire", de l’envie d’exercer un métier plutôt que d’occuper un emploi,
de la formation tout au long de la vie, de l’acceptation des règles du système...
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"Als Landwirt"
Réalisé par Stefan Hayn et Anja-Christin Remmert
- Durée : 65 min - Année : 2007 (Allemagne)
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Le point de départ pour Als Landwirt fut la rencontre fortuite avec Klaus Geißendörfer
et sa famille. Après un grand incendie en juillet 2003, les agriculteurs de Burgstall
durent se poser la question : devons-nous arrêter ou nous agrandir en prenant
beaucoup de risques ? Le film commence par l'ouverture de la nouvelle étable dans
la ferme des Geißendörfer et accompagne la famille paysanne franconienne et
wurtembergeoise dans son travail, pendant un an. On parle des saisons, de questions
concernant le travail et le temps libre, de l'actualité de la restauration vue dans
une perspective non urbaine que ce film rend de façon aussi solidaire et
régionaliste que possible.
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Quand la vie de famille va et parfois vacille
Loin des images lisses de l'harmonie bucolique et du bonheur familial tranquille, la
vie de famille dans les campagnes est comme les autres, un monde de chair et de sang,
d'illusions et de déceptions, de tendresses et de brutalité, et la vie de famille va et
parfois vacille.
"Les secrets"
Réalisé par Tony Quemere
- Durée : 25 min - Année : 2007 (France)
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A travers la lettre d'un père à sa fille, le réalisateur raconte l'histoire
d'une famille, sa famille, dans un Finistère rural profondément affecté par un
désarroi économique et social. Là où un alcool amer, aussi, se transmet parfois
d'une génération à l'autre. La chose est dite toute crue, telle qu'il l'a vécue
enfant, adolescent, puis maintenant adulte. Une confession face au drame familial
dont il sait moduler les émotions et les postures, passant de la honte à l'empathie,
d'un humour et d'un amour tendres à une lucidité plus frontale par la magie
d'une voix off ciselée et une mise en image mêlant films amateurs et une visite
des lieux vidés de son enfance.
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"Je dors mais mon cœur veille"
Réalisé par Anca Hirte
- Durée : 50 min - Année : 2008 (France)
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impose-moi comme un sceau sur ton cœur
comme un sceau
sur ton bras
l'amour est fort comme la mort
passion
dure
comme l'enfer
flammes flammes de feu
flammes de Yahvé
beaucoup d'eau n'éteindra pas l'amour
aucun fleuve
ne l'emportera
...rêve éveillé qui mêle le passé et le présent,
la présence et l’absence, le proche et le lointain, la chair et le vide,
la terre et le temps...
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Pour une rurbanisation raisonnable ?
A la marge des villes, deux mondes se regardent et se défient, avec l'espace pour enjeu.
Espace de vie, espace à aménager, cadre urbain maîtrisé ou dévorant, espace d'accueil ou
espace clos ?
Quelles solutions pour une rurbalisation équilibrée ?
"Huis clos : pour un quartier"
Réalisé par Serge Steyer
- Durée : 52 min - Année : 2007 (France)
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Aux abords d’une petite ville, un vaste terrain sera bientôt constructible. La
municipalité voudrait en profiter pour initier une opération innovante. Autour
de la table, des élus volontaires, de jeunes urbanistes qui veulent en finir avec
la banlieue pavillonnaire, des promoteurs et un architecte qui défendent
leurs intérêts. En s’immisçant durant plusieurs mois dans les tractations entre
les différents acteurs, le film saisit sur le vif la dérive d’ambitions
politiques pourtant réelles et sincères et fait émerger une réflexion sur
l’urbanisme et la démocratie locale.
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"Le grand divorce ?"
Réalisé par Jacques Ledoux
- Durée : 52 min - Année : 2007 (France)
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Après 200 ans d'une union étroite, née d'un mariage de raison, la Réunion va-t-elle
divorcer du sucre ? Les motifs de cette rupture ne manquent pas. Pourtant,
il est peu d'exemples sur la planète qu'une terre et qu'un peuple aient été
aussi durablement, et aussi exclusivement, liés à une plante. La Réunion doit
tout à la canne à sucre : les mélanges de son sang, l'allure de ses paysages et
ses rapports sociaux.
Une histoire mouvementée, avec ses périodes d'euphorie et ses crises profondes,
avec ses capitaines d'industrie et ses bataillons de travailleurs. Deux siècles
d'intimité orageuse, remis en cause par la démographie et la mondialisation.
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"Une place au village"
Réalisé par Tatiana De Perlinghi et Jacques Moriau
- Durée : 53 min - Année : 2008 (Belgique)
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Mesnil l'Eglise, un tout petit village perdu sur les hauteurs de la Famenne
en Belgique. Un village comme un monde. Un monde où se côtoient vieux cultivateurs
et néo-ruraux, traditions et utopie écologique. Un monde à l'avenir incertain,
pris entre déclin agricole, extension des banlieues dortoirs et projets futuristes.
"Une place au village" est une chronique en quatre saisons d'un village en mutation.
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Mondialisation, dur défi pour les plus humbles
Epuiser les terres, modifier les plantes, briser les vies et mettre en danger l'avenir de tous
ne semble guère peser face aux appétits des puissants de l'agrobusiness.
Survivre et préserver la planète, dur défi pour les plus humbles.
"Terre terre terrae"
Réalisé par Annick Ghijzelings
- Durée : 50 min - Année : 2007 (Belgique)
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Quand on me le demandait, je disais que je ne savais pas ce que j’allais
chercher là-bas. Pas vraiment. Je disais, c’est simple, c’est le voyage
d’une machine. Je pars filmer le voyage d’une machine agricole. Et avec elle,
l’idée un peu vague qu’elle puisse rapprocher des hommes et des terres éloignés
de plus de 6 000 km. Je me glissais dans le rêve de mon frère qui avait inventé
cette machine. Ca suffisait au désir de faire un film.
Et puis, comme toujours quand on fait un film, le film devient autre chose.
Le film est devenu un film sur la terre. Sur la terre qui attache et qui échappe,
sur le temps qui se passe, sur les gestes qui nous nourrissent, sur l’inquiétude,
sur les paysans, sur ceux qui partent, sur ceux qui restent.
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"Regards d'ailleurs"
Réalisé par Matthieu Mounier
- Durée : 75 min - Année : 2007 (France)
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"Ce film est un portrait peu commun de la Mongolie, qui parle en images,
tant de l'Histoire politique que de la précieuse Histoire intime vécue au
présent dans chaque famille d'éleveurs nomades."
Ce documentaire est un portrait intime de la Mongolie, à travers la paisible
vallée de Bulgan, région d'élevage nomade et de transhumance pour des hommes
venus du sud chercher de meilleurs pâturages. A travers l'histoire récente,
éleveurs et personnalités de tous bords racontent la vie à la campagne
aujourd'hui et lors de la période communiste. Mais la Mongolie n'est pas
qu'une steppe, c'est aussi sa capitale, Ulaanbaatar, porte ouverte au monde.
Cette ville aimante les familles rurales qui s'installent là-bas, portées
par le mythe d'une vie meilleure...
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"La linea roja"
Réalisé par Sina Ribak et Guillaume Parent
- Durée : 52 min - Année : 2006 (Bolivie - France - Allemagne)
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Le parc national Amboró est situé dans le département de Santa Cruz en Bolivie,
il protége au sein de ses 637 600 hectares, des forêts primaires, ainsi que les
fleuves qui y prennent source. C'est l'un des parcs ayant la plus grande
biodiversité d'Amérique du Sud. Il comporte cinq différentes éco-regions où
vivent plus de 2900 variétés de plantes et beaucoup d'espèces endémiques de faune
menacées ou en risque d'extinction.
Afin de protéger le parc Amboró la zone Aire Naturelle de Développement Intégrée
(A.N.M.I.) qui encercle le parc a été créée pour rendre compatible la conservation
de la diversité biologique face au développement économique et social porté par
près de 30 000 habitants.
A travers la confrontation des points de vue des habitants de cette zone ANMI et
des gardes forestiers du parc, ce documentaire aborde les antagonismes opposant
conservation et croissance. La línea roja présente l’équilibre fragile établit
entre les deux parties à travers l’expérience de personnes soumises aux enjeux
des politiques de conservation nationales et internationales.
Cette immersion de deux mois aux cotés des différents acteurs du parc expose
tant scientifiquement qu’humainement les problématiques universelles auxquelles
sont confrontées toutes les tentatives d’établissement de zone protégées.
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"Lee Kyung Hae"
Réalisé par Daniel Tromben
- Durée : 54 min - Année : 2007 (France - Corée du Sud)
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Cancun. Maxique. 10 septembre 2003
Les négociations de l’Organisation Mondiale du Commerce sont en cours.
Une barrière physique et policière retient la manifestation des paysans, syndicats
et autres représentants de la société civile internationale.
Dans un supermarché de la ville, Jesus Villasec, photoreporter au journal national
La Jordana, accepte d’un militant sud-coréen une lettre adressée par lui au président de l’OMC.
L’homme distribue son sourire et ses papiers.
Quatre heures plus tard l’objectif de l’appareil photo du journaliste mitraille
la chute d’un homme de la barricade, sur son torse une pancarte affiche :
L’OMC TUE LES PAYSANS, dans son cœur un couteau est planté.
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La double peine des femmes de la campagne
Elles vivent à la campagne, ici et aussi plus loin de nous. Certaines y sont nées et y subissent
encore aujourd'hui la brutalité d'un droit coutumier d'un autre âge ; d'autres ont rêvé
d'une autre vie, ont quitté leurs racines. Et parmi elles, certaines, désenchantées, reviennent
à leur source quand d'autres luttent pour affirmer leur place et leur droit.
"Stone silence"
Réalisé par Krysztof Kopczynski
- Durée : 51 min - Année : 2007 (Pologne)
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En avril 2005, le monde apprend la nouvelle que dans un village du Spingul,
au Nord de l’Afghanistan, une femme de 29 ans a été lapidée publiquement
pour adultère. Son nom, Amina.
Il a fallu cinq ans pour que cet événement parvienne jusqu’aux programmes d’info
et "talk shows" des medias internationaux et suscite l’émoi général.
Le documentaire suit Amina que sa famille a donnée en mariage à Muhammad.
En Afghanistan, ces mariages arrangés où les parents choisissent la future
épouse de leurs enfants sont très fréquents et enracinés dans la tradition.
Mais, heureusement pour Amina et Muhammad, ils ont grandi ensemble et se
connaissent bien. Immédiatement après le mariage, Muhammad quitte sa
nouvelle épouse pour trouver du travail en Iran. Amina vit seule. C’est alors
que Karim entre dans sa vie. Attirés l’un vers l’autre, ils commencent à se voir
en secret, mais dans les maisons de terre du Spingul, il n’y a pas d’espace
pour agir de manière secrète. Ils finissent par être surpris et sont accusés
de violer la loi.
Ce documentaire captivant, suit pas à pas leur relation, le procès et le châtiment
avec une objectivité pénétrante. Amina meurt, mais personne n’est déclaré coupable.
Bien qu’ayant été jugés, son frère et sa mère sont libres. Ils vivent comme si
rien ne s’était passé. La famille de Karim quitte le village par peur d’une
vengeance. Karim est battu et se sauve dans les montagnes. Est-ce que les
parents de Karim auront le courage de dire ce qui s’est réellement passé ?
Leur fils sera-t-il retrouvé ?
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"Stam - Nous restons là"
Réalisé par Eric Guirado
- Durée : 54 min - Année : 2007 (Luxembourg)
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Deux réalisatrices vont à la rencontre de Ruth et Natalia, deux femmes roumaines
qui ont grandi dans le village de Malancrav, en Transylvanie. L’une est tsigane,
l’autre saxonne ; l’une a quitté le village, l’autre y est restée, et a priori
rien ne les unit, si ce n’est leur relation complice et amicale d’anciennes
voisines.
Les contradictions liées à leur relation sont suggérées au fil du film,
conçu comme un récit ou se trouve peu à peu questionnées, en filigrane,
les notions d’appartenance sociale et ethnique, d’argent, de ruralité,
d’exode et d’enracinement.
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"La belle et les bêtes"
Réalisé par Marie Ka
- Durée : 52 min - Année : 2006 (France)
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Modestine, sur son île à Madagascar, répond à une petite annonce du Chasseur Français.
Jean-Marie agriculteur en Haute-Marne cherche une femme. Echanges épistolaires et
téléphoniques pendant un an. Jean-Marie l’invite. Coup de foudre ! Il l’épouse.
Elle devient Madame Aubriot.
Jean-Marie a un accident grave, immobilisé dans un fauteuil ; c’est Modestine
qui prend les travaux de la ferme en main. Peu à peu son mari va retrouver
l’usage de ses jambes mais le bonheur sera de courte durée.
Il meurt écrasé sous une remorque.
Là commence le film. C’est le combat de Modestine pour continuer à
faire vivre l’exploitation et la guerre avec son beau-père
qui veut récupérer la terre.
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Générations perdues, générations retrouvées
L'exode rural, la déprise agricole, le grand âge, la fin des paysans... Les sociologues nous
ont-ils tout dit de ces abandons subis, toujours forcés, entre fin de vie et contraintes
matérielles, jamais choisis. Les temps changent brutalement sauf pour ceux qui ont les
moyens de gérer leur mue.
"Au cul des bêtes"
Réalisé par Olivier Plagnard
- Durée : 52 min - Année : 2003 (France)
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Il y eut un temps où la merde des vaches, leur odeur me pénétrait, jusqu'au
vomissement. Je ne pouvais pas penser à autre chose qu'à l'animal, il était mon roi
et j'étais son esclave. Papa, tu avais une phrase fétiche : "si tu ne le fais pas
pour moi, fais le pour le bien des animaux". Toutes ces années, ma vie collait à
l'animal, à sa crasse, à ses humeurs. Je me suis fondu et même dissout à ne plus être.
J'avais l'impression de passer à côté de ma vie.
Ce film pose la question de la transmission. Sortir de cette histoire, sans trahir,
faire accepter qu'on veuille être autre, dans le respect de ce qui me fonde, affirmer
un autre don que le don des bêtes. Je (me) filme ce que je suis et ce que je ne
veux plus être. Je filme le travail, pendant un hivernage, au cul des bêtes. Etre
éleveur, être cinéaste : deux mondes que je porte en moi et qui me partagent.
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"Il faut que tout change pour que rien ne change"
Réalisé par Claire Maltot
- Durée : 20 min - Année : 2007 (France)
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Là où il y a enracinement ancestral, il y a des traditions qui se transmettent,
comme une résistance face aux évolutions de la société, évolutions pourtant
inéluctables et avec lesquelles parents et enfants doivent compter. A Lignères,
dans le département de l'Orne, s’étend le domaine de la famille Lassaussaye.
Digne héritière des patriarches de l’élevage, la famille est devenue, au fil
des générations, la représentante d’une identité locale forte. Assimilée de
fait à la paysannerie locale, attachée à la terre et au savoir faire du monde
du cheval, elle reste l’héritière d’une position sociale dominante liée à la
noblesse foncière de ses origines. Un paradoxe significatif pour une famille
en pleine mutation où se nouent et se dénouent les liens de transmission.
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"Par exemple Ebenthal"
Réalisé par Eléonore de Montesquiou
- Durée : 21 min - Année : 2004 (Allemagne)
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Comment des propriétaires fermiers peuvent-ils sauver leur terrain et leur
activité en bordure d'une grande ville ? Quelles sont les transformations du
paysage alentour au cours des dernières années ? Pourquoi habitent-ils ici
maintenant ? Quelle est la relation des propriétaires à leur terre ? A leur maison ?
En Autriche, comme partout, les villes mangent la campagne. Ebenthal est un
village de Carinthie, proche de Klagenfurt. A la frontière presque de la Slovénie.
Il n'y avait à Ebenthal que quelques fermes il y a seulement 20 ans.
Aujourd'hui ce village est englobé dans les zones commerciales de Klagenfurt.
Mon film est construit autour de trois femmes à Ebenthal et tente de comprendre
le balancement entre la modernisation et la sauvegarde de la terre.
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Projections hors compétition
"La part du Chat"
Réalisé par Jérémy Hamers
- Durée : ? min - Année : ? (Pays ?)
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??.
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"Le fils de l'épicier"
Réalisé par Eric Guirado
- Durée : 1h36 - Année : 2006 (France)
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Quand Antoine propose à Claire, sa meilleure et seule amie, de lui prêter
de l'argent, il est loin d'imaginer où le mènera sa promesse. Car de
l'argent, Antoine n'en a pas. A trente ans, il traîne une existence jalonnée
de petits boulots et de grosses galères. Pour tenir sa parole, il n'a d'autre
choix que d'accepter de remplacer son père, épicier ambulant, parti en maison
de convalescence après un infarctus.
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"Une vérité qui dérange"
Réalisé par David Gugenheim
- Durée : 1h38 - Année : 2006 (Etats-Unis)
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L'humanité est assise sur une bombe à retardement. Les savants du monde entier
s'accordent pour dire qu'il nous reste à peine dix ans pour éviter une catastrophe
planétaire - un dérèglement majeur du système climatique qui entraînerait des
perturbations météorologiques extrêmes, des inondations, de longues périodes de
sécheresse, des vagues de chaleur meurtrières. Cette catastrophe d'une ampleur
sans précédent, nous en serions les premiers responsables ; nous seuls pouvons
encore l'éviter. Plutôt que de sonner le tocsin de l'apocalypse ou de céder à
la délectation morose, Une vérité qui dérange a choisi d'illustrer et de
relayer l'action et le combat passionné d'un homme, l'ancien Vice-président
Al Gore, qui depuis cinq ans sillonne les états-Unis pour persuader ses
concitoyens de l'urgente nécessité de réagir à cette crise.
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"Combalimon"
Réalisé par Raphaël Mathier
- Durée : 1h20 - Année : 2007 (France)
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Jean est au crépuscule de sa vie. Fatigué, seul et sans descendance, il doit se
résoudre à vendre ses quelques vaches et songer à la transmission pour sauver sa
ferme Combalimon. Une étape délicate, une perspective vertigineuse...
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Projections scolaires
"Un jour sur terre"
Réalisé par Alastair Fothergill et Mark Linfield
- Durée : 1h30 - Année : 2007 (Allemagne - Grande Bretagne)
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Périple spectaculaire à travers les saisons, ce documentaire nous transporte de
l'océan Arctique au printemps à l'Antarctique en plein hiver. Les toutes
dernières technologies en matière de prise de vue en haute définition ont permis
de tourner des images d'une beauté à couper le souffle et de mettre en valeur la vie
qui palpite et bouillonne à chaque instant, sur le moindre centimètre carré
de notre planète.
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"Nocturna, la nuit magique"
Réalisé par Victor Maldona et Adrian Garcia
- Durée : 1h20 - Année : 2006 (Espagne)
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Dès l'instant où Tim, assis sur le toit de l'orphelinat, a vu Adhara sa minuscule
étoile toute fragile tomber du ciel, il a senti que quelque chose ne tournait
pas rond. S'il ne s'était pas penché pour voir où elle était tombée, il n'aurait
pas glissé du toit et n'aurait pas été secouru par le Berger et son incroyable
horde de chats. Dans le monde de Nocturna, une ribambelle de petites créatures
travaillent pour faire de la nuit un endroit magique où tout est possible.
L'arrivée inattendue de Tim et les rencontres qu'il fera tout au long de sa quête
lui donneront-ils la force et le courage de surmonter sa peur du noir ?
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